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Retour sur un voyage en groupe à Washington DC

Alain Gavilli



Le voyage à Washington n'est pas que la simple participation au "Summer camp" organisé par ASU.

Je dirais que si le stage reste un moment de pratique intense avec six à sept heures journalières d'aïkido du 3 au 7 juillet, il n'en représente qu'une facette.

Des journées commençant à 8h30 par un cours d'armes en plein air suivi de 2 heures de pratique. Une coupure entre midi et 15h00. La reprise pour un après midi garni de 3 à 4 heures d'aïkido.


Que du plaisir, certes, mais attention aux 35°C à 40°C ambiants avec un air saturé de vapeur d'eau. Le kimono doit passer chaque soir en machine car il a, dans la journée, absorbé une quantité importante de transpiration.

Mais les conditions atmosphériques ne risquent pas d'empêcher la pratique dynamique. Comment ne pas se bouger lorsque, au "Onegaï shimasu" traditionnel, a répondu favorablement l'une des figures emblématiques du dojo, ou, une personne discrète parmi nous dont le maintien trahi une pratique pointue et une solide expérience, ou, l'un des hauts gradés de notre discipline ?


Tous les voyants sont au vert pour une pratique dans le plus grand des plaisirs et en cas de coup de fatigue, "Onegaï shimasu" adressé à un "petit blanc", histoire de récupérer pendant quelques instants.

Déjà, ça valait le coup de venir !

Mais, le stage d'aïkido n'est, au cours de ce voyage que la cerise sur le pancake.

La grande valeur du séjour, c'est l'incroyable accueil qui nous fut réservé.

Nous avons été amicalement reçus dans l'intimité des gens. Hébergés dans leur maison, accueillis pour des soirées anniversaire, invités à des soirées conviviales, entourés de saluts et regards amicaux.


Les déambulations touristiques, les découvertes gastronomiques, les shopping aux profils typiquement américains furent de la partie. Des sorties toujours sympa.

Et que dire de notre intégration à la vie du dojo ?

C'est un petit peu l'envers du décor, la vie avant, pendant et après les cours.


Le Summer camp, mais pas que, aujourd'hui, un package de bons souvenirs.


Un mot pour mes compagnons et ma compagne de séjour.

Cette équipe était parfaitement assortie au périple.

Quatre aïkidokas qui n'ont peut-être pas un ikkyo parfait, mais de cela, au fond, on s'en moque un peu...


À Stéphane, grand merci, sans lui, les choses ne seraient pas ce qu'elles sont.


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